Rendez-vous au delà de la raison ? [PV Lucia]

Je visionnais parfaitement se qu'il me décrivait en imaginant les yeux rouge j'ai eu un frisson les yeux et l'arme se levèrent et se rappchere je voyais quelqu'un mais il était flou? Oui flou je distinguai à peine les couleurs.

Je continuais, incapable de décrire ce que je faisais. j'étais en trin de me perdre dans mon propre esprit.

- Maintenant, tu aperçois la silhouette d'un humain qui se découpe. Tu ne vois pas son visage. Mais tu vois clairement ses yeux rouges, ce regard de fou, plein de haine et de folie, qui te fixe de manière insistante. L'arme qu'il a à la main te menace directement.

Je distinguai la silhouette c'était lui ... j'ai eu un autre frisson je ...pourquoi je l'imagine ? Pourquoi je ne peux pas l'oublier? Pourquoi il m'a tant tromatiser ...

Je la regardais, toujours perdu entre rêves et réalité. Je n'avais plus aucune emprise sur mes actes.

- Cette homme te fixe toujours, sa silhouette baigné dans l'ombre et déformée par une autre plus grosse derrière lui. Un homme, avec un pelage noir hirsute, un museau allongé, des mains et des pieds griffus. Et ce regard posé sur toi.

Je tremblai légèrement par mq peur de le voir cette homme qui me fait si peur même quelque larmes coulaient l'homme derrière ne me fesait ps peur seulement celui de devant qui avait son arme juste devant mon ventre.

Je continuais, inflexible.

- Cette homme qui te terrifie tant pointe l'arme sur toi. Ta dernière heure semble être arrivée. Tu ne peux rien y faire. C'est alors qu'elle survient. Cette chose. D'un coup, le loup garou et cet homme qui t'effraie tant disparaissent. Cette personne les a chassés par sa simple lumière. Tu reconnais cette personne, bien évidemment. Elle, elle te jette juste un sourire, et, sans rien dire de plus, disparais à nouveau, te laissant seule, maintenant en sécurité.

Je n'avais pas reconnu la personne et essayait d'un revers de ma main libre les larmes sur mon visage j'étais en sécurité mais je me demandais qui était la mysterieuse personne que j'étais sensé connaître.

je ne savais pas non plus qui pouvait être la personne qui avait sauvée Lucia. Seule elle pouvait le savoir après tout...

- C'est une personne que tu aimerais bien revoir... mais elle te semble lointaine et inaccessible, c'est comme si elle se dérobais à toutes tes questions, tes propos... A ce moment là, tu oublies que tu es dans cette forêt sombre. Et, au moment où tu t'en rends comte, tu as bien vite fait de reculer et de partir d'ici !

Je l'emmène alors devant un étang.

Cette personne me semblait si familière mais tout de même inconnu la forêt disparaît au loin et je ne veux pas y retourner si il faut l'autre personne reviendrait mais lui et la bête reviendrai peut être.

Sur l'étang, il y avait des canards. Ils cancanaient gaiement. Je continuais donc mon histoire.

- Tu as marché jusqu'à un étang. Tu t'y arrêtes. Sur la surface de l'eau, tu vois des petits oiseaux, qui font le même bruit que les canards. Ils sont petits et ronds, avec du duvet azur en guise de plumage et des petits yeux noirs comme des billes. Ils viennent te voir en cancanent gaiement.

Les bruits s'accordaient parfaitement avef son histoire j'avais l'impression d'y être de voir l'étang d'une autre façon entre l'eau avec le reflet dorée du soleil les petits oiseaux aux plumes bleu azur et aux yeux noirs .

Je l'emmène maintenant devant un château. Des collégiens sont en trin de faire du sport juste devant. Ils font du bruit et applaudisse leur professeur, comme pour se moquer de lui.

- Tu arrives maintenant devant le palais royal. Le roi et la reine ne sont pas là. Ils sont morts depuis bien longtemps. Maintenant, le palais est le centre général des soldats. Des soldats farouches, courageux et avares qui ne désirent que l'argent et le pouvoir. C'est l'heure du discours, le général est campé sur la marche la plus haute, devant le peuple. Il proclame très fort son discours comme quoi il arrivera à rallier toutes les terres et que la paix viendra enfin. Les gens savent bien que la guerre ne mènera jamais à la paix, certains applaudissent, d'autres restent silencieux, et il y en a qui gloussent et éclatent de rire tellement ils trouvent ça ridicule

J'imaginais le palais royal grand majestueux magnifique et un côté magique pour l'architecture mais la touche de verre avec les soldats et le général n'allait pas avec le decors du magnifique château.

Je continuais encore :

- C'est alors que tu sens un regard dardé sur toi. Un regard familier, peut être, mais un regard qui te fait peur. Cette personne t'effraie, et elle te regarde.

C'était lui le même homme que tout a l'heure avec l'arme sauf qu'il ne l'a plus je le reconnais je le regardais et le distinguai mieux c'était bien lui bien cette idiot ... je n'avais rien d'autre à dire enfin à penser.

je la regardais et continuais l'histoire.

- Cette homme s'approche de toi. Il fond dans la foule pour te revoir. Il t'attrape la main et commence à te parler. Il s'excuse. Après, il t'insulte presque. C'est comme si il était fou

Je frissone et tremble légèrement il s'excuse peut être mais me fais toujours peur la main que cette personne me tien est l'endroit de mon corp qui tremble le plus la foule se discipe non, ne me laisser pas seule avec lui...

- Cette homme te tient toujours la main. C'est comme si il voulait te la broyer. Le poignard pend à sa ceinture, tu le vois, là, pendouillant. Tu l'attrapes sans hésiter. maintenant, il te reste un choix à faire, c'est, soit toi, soit lui.

Je sort de ma poche un couteau de cuisine que je lui met dans la main. Je lui prends l'autre main.

- Un seul choix se présente à toi : c'est soit toi, soit lui. Sois il meurt, soit tu meurs.

Je n'allai pas faire ça plutôt mourir que de tuer quelqu'un je tremble toujours je lâcha le couteau qui tomba à terre j'entendi le petit bruit . Je ne le ramasserai pas sûrement pas je fixai l'image du couteau que j'imaginais

Surpris, je sortais enfin de mon état comateux. Quand je me rendais comte de ce que j'avais fait, j'étais complètement déboussolé. Terriblement désolé, honteux. Je me mettais à genoux pour serrer Lucia dans mes bras.

- Désolé... Je ne voulais pas !

Plus le temps passait, plus je me rendais comte que je voulais mourir. Tous, ils avaient tous raison. je devais mourir. les gens comme moi n'ont rien à faire d'autre ici. je ne méritais même pas d'être allé jusque là. je ne suis qu'un monstre, un horrible monstre.

- Désolé !

Je recouvrai les yeux et sentais que des larmes avait coulé je les essayai rapidement et le regardai.

-ne t'inquiète pas tu n'y es pour rien.

Je lui fesai un faible sourire.

Je restais le regard vide fixé sur le sol.

- Non... je n'aurais pas dut...

Je lui fis un petit sourire sincère .

-Tu ne pouvais pas savoir qu'es que j'imaginerai quand tu me la re, du.

Je me baissa comme lui et le prit dans mes bras il n'allait pas aimé mais je voulais qu'il arrete de s'en prendre à lui même.

je ne pouvais pas savoir, mais je n'aurais peut être pas dut aller si loin... C'était horrible ce que j'avais fait.

- Oui mais je n'aurais pas dut aller si loin... J'allais te faire faire des choses horribles !

Il a bien vu que j'ai lâché le couteau non? Si je l'ai lâchée c'est que je ne l'aurai pas fais.

-t-tu pensais que j'allai le faire?

Je l'avais à moitié lâcher et le regardai je n'aurais pas pu faire de mal à quelqu'un surtout pas à lui!